Zone d'identification
Cote
ES 29067CFR CF01-01-18XX0000_RI_FC_0014_035
Titre
Sevilla, Alcázar, Patio de las Doncellas. Miguel Castillo.
Date(s)
- [c] 1885 (Création/Production)
Niveau de description
Pièce
Étendue matérielle et support
1 fotografía, positivo en papel albuminado, monocromo, 230 x 170 mm.
Zone du contexte
Nom du producteur
(fl. 1890-1900)
Notice biographique
Fotógrafo activo en Sevilla entre 1890-1900 en la calle Sierpes, nº 30, y a partir de 1892 nº 45.
Histoire archivistique
Source immédiate d'acquisition ou de transfert
Zone du contenu et de la structure
Portée et contenu
Évaluation, élimination et calendrier de conservation
Conservación permanente y valor patrimonial, fuente primaria para la investigación histórica.
Accroissements
Mode de classement
Zone des conditions d'accès et d'utilisation
Conditions d’accès
Estas imágenes se publican bajo una Licencia Creative Commons Atribución-NoComercial-SinDerivadas 3.0 Unported
Conditions de reproduction
Langue des documents
Écriture des documents
Notes de langue et graphie
Caractéristiques matérielle et contraintes techniques
Instruments de recherche
Zone des sources complémentaires
Existence et lieu de conservation des originaux
Originales fotográficos en la sede de la CFRivero.
Existence et lieu de conservation des copies
Unités de description associées
Zone des notes
Note
Número, título y mención de responsabilidad, manuscritos en una tira pegada en la parte inferior del negativo: "Nº 39" Alcazar. Patio de las Doncellas. Sevilla. Castillo fº."
Identifiant(s) alternatif(s)
Mots-clés
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Noms
- Alcázar de Sevilla (Sujet)
Mots-clés - Genre
Zone du contrôle de la description
Identifiant de la description
Identifiant du service d'archives
Règles et/ou conventions utilisées
Statut
Final
Niveau de détail
Moyen
Dates de production, de révision, de suppression
Langue(s)
- espagnol
Écriture(s)
- latin
Sources
Note de l'archiviste
Pegada sobre una cartulina que debió pertenecer a un álbum.
Note de l'archiviste
Descripción realizada por María Teresa García Ballesteros